Page 33 : dispute et accident

 Je crois qu'il ne m'avait jamais vu aussi entreprenante Kôga. Il en fut même très surpris de me voir ainsi !! Mais quand il s'agit de cuisiner, je ne fais pas les choses à moitié !!! Une fois la nourriture prête, Yoichi reçu quelques invités. Des anciens camarades de lycée qu'il n'avait pas vu depuis des années. C'était un charmant petit couple qui était fraîchement marié. Au moment de passer à table, je regarde Yoichi et le supplie du regard, je ne voulais pas donner à manger à Kôga, c'était bien trop gênant ! Je pose mon regard sur Kôga une dernière fois avant de supplie de nouveau Yoichi du regard mais il ne semblait pas céder.  Alors je donne à manger à ce dernier qui se tord de rire en me voyant aussi gênée.

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Chaque cuillères que je lui donnais me faisait penser que nous étions comme les petits couples dans les films à l'eau de roses !! Je rougis à chaque fois de plus en plus. Mes joues étaient de plus en plus roses. J'avais envie de lui crier que je l'aimais mais je pouvais pas, si je le lui disais il pourrait me rejeter quoi que.... Non il l'a déjà fais, oui, il m'a déjà rejeté mais pourquoi être rester au près moi depuis tous ce temps ?? Il est bizarre Kôga je n'arrive pas à le comprendre, je n'arrive pas à lire en lui c'est comme si son esprit était verrouillé.... une fois terminé, je pose le bol sur la table et monte dans la chambre de Kôga pour dormir. Je regarde mon portable et  constante aucun nouveau message. Je me change et me glisse dans le lit. Je ferme les yeux mais la porte s'ouvrit, je regarde en tournant et le voit, il est contre la porte, les bras croisés et me fixait du regard. Il ne soit pas il semblait fatiguer. Il se dirige vers le lit et enlevé son tee shirt et se glisse lui aussi dans le lit ou soupirant. Le lit de Kôga était malheureusement trop étroit pour tout deux mais je ne voulais pas me coller à lui. Nous étions dos à dos. Je m'endormis au près de lui. Le lendemain,  je me retrouve dans ses bras, il dormait encore alors j'en profitais pour pouvoir le regarder. Les traits fins de son visage, sa peau douce, son souffle chaud régulier,  les battements de son coeur et ses mains chaude.... Sur ce moment j'ai l'impression que nous formions qu'un. Mon Coeur bat ait tellement fort qu'il pourrait l'entendre. Je me mis contre lui comme si je ne voulais plus partir ce qui est vrai-

- Je ne te dérange pas j'espère ?

- Hein ??

- Je suis réveillé depuis plus longtemps que toi mais je faisais semblant de dormir et tu profites de la situation.

- Quoi ?? Non jamais !!

A c'est mots, je le pousse du lit avec toute la force que j'avais en moi tellement j'étais gênée. 

- Tu aurais pu me prévenir quand même ...

- et toi tu n'aurais pas du dire ça. ! 

Il soupir et se relève, se glisse de nouveau dans le lit et m'embrasse sur le front. Je pose ma main sur mon front et le regarde avec des étoiles dans les yeux. 

- tu préfères que je t'embrasse sur les lèvres ?

Il me donne à chaque fois des papillons dans le ventre, c'est agréable,  ce n'est pas une douleur mais l'effet qu'il a sur moi, mes joues sont en feu j'avais envie de lui dire lui.

-Non ça ira merci

- Menteuse, réplique t'il avec le sourire.

Je lui tire la langue, il se rapproche de moi, me tourne et il se mit au dessus de moi et il m'embrasse. Ses lèvres sont douces très douces et elles sont chaudes. Je le laisse faire. Il embrasse tellement bien... Il se relève, m'embrasse sur la joue et embrasse mon cou, j'ai comme l'impression qu'il me faisait un suçon. Une fois qu'il eut terminé, il pose sa tête sur moi et je ferme mes bras autour de lui. Ma main caressait ses cheveux. 

- Je vais descendre ... je pense... Chuchote t'il à voix basse.

- moi... aussi...

- Non... reposes toi, demain... non laisses dors. 

Il s'assoit au bord du lit, me bordé comme une enfant, j'ai comme des papillons dans le ventre, je rougis. Il se penche sur moi, je ferme les yeux fort et sentitulaire ses lèvres sur mon front. J'ouvre les yeux et le regarde subjugué. Je pose ma main sur mon front. Il sortit de la chambre en me disant bonne nuit d'une voix douce. Je ne sais pas j'ai remarqué qu'il était étrange ces derniers temps... Il est tellement entreprenant que mon coeur ne résiste pas... Mais ... je ne peux pas... ou si je peux je ne sais... je m'en dormis trop vite pour savoir à quoi penser. A mon réveil,  javais chaud sous la couverture, c'est comme si j'avais un chauffage sous ma couette. Je me retourne et m'appui contre ce chauffage, il est doux et il sent bon et... je me léve d'un coup pourquoi ce chauffage est poilus ? Je regarde qui se cache sous la couette et je le vois en train de dormir paisiblement.  Il est si beau. Je me pense pour le sentir, son parfum est doux et délicat... Je le regarde encore et encore. Je finis par soupirer car mon esprit me jouais des tour, m'imaginant lui et moi sortir ensemble... je me rallongé sur le lit et ferme les yeux, je tourne ma tête vers Kôga et pose ma main sur sa joue en collant mon front contre le sien. J'aurais tellement aimé,  je me vois déjà me baladant avec lui main dans la main. Je prends mon portable et regarde les photos que j'ai de lui, les fixant, min coeur se serre dans ma poitrine, j'ai si mal de me faire à l'idée que lui et moi. .. rien que d'y penser... et puis Je verse une larme regardant les photos une à une, j'éteindre mon portable et essuies mes yeux. Soudain je le sens se coller à moi, son torse contre mon dos, sa main se faufile sous mon teeshirt pour se loger sur mon ventre. Je ne bougea is pas, je n'osais pas. En faite je n'en avais pas le courage de le repousser. Je pose ma main sur la sienne instinctivement. Je me rendormis. A 10 heure trente, je fus réveillée par Kôga qui m'embrassait dans le cou. 

- Salut toi. Bien dormis  ? Réplique t'il d'une voix douce

- Hum. .. oui plutôt bien et toi ?

- Je crois que je n'ai jamais autant bien dormis de toute ma vie..

Je lui souris. Il se leve du lit le premier en s'étirant de tout son long, enfile un pull sur son torse nu que je regardais admirablement et il sortit de la chambre en me disant :

- Au lieu de me matériel de dos, mate moi de face c'est plus existant tu verras. D'un ton moqueur et souriant.

Je devins rouge comme une pivoine au point de me cacher sous la couette. Quand je me décide à enfin descendre pour aller déjeuner,  Kôga ni était plus. Je déjeune tranquillement. Soudain mon portable vibre sur la table de la cuisine et quand je consulte les message une photo apparaît. Je lâche mon portable sous le choque de ce que je venais de voir. Je n'arrivais pas à y croire... Il.... J'étais tellement verte de colère que j'ai accidentellement cassé mon bol. Je partis m'habiller et je sortis de la maison en claquant la porte de la maison. Sur le chemin je croise Kôga et je ne pus m'empêcher de le gifler puis je partis en courant les larmes au yeux. Comment a t'il. ..? Comment il a pu embrasser une autre fille.. Je comprends mieux maintenant !! Je reste au parc toute la journée et quand la nuit arriva, je partis me promener en ville. Je regardais les couples passer avec envie assise sur mon banc.  N'ai je pas droit au bonheurs moi aussi ? Pourquoi ma vie est toujours aussi nulle... Quoi que je fasse ça finis mal.... je soupire. 

Je sentais mon portable vibrer dans ma poche depuis quelques minutes, c'était toujours lui, il essayait de me joindre mais je ne decrochais pas. Je ne voulais pas lui parler. Je ne voulais pas lui répondre,  j'en avais aucune envie. Si c'était pour me dire des âneries j'en avais aucune envie de les entendre. Mon Coeur était lourd rien qu'en pensant à ce que j'avais vu, j'ai vraiment le don pour enfoncer le couteau la ou ça fait mal.... 

Du côté de Kôga : 

Elle ne répondait pas au téléphone et elle était introuvable. Cette fille a vraiment le don de m'agacer quand iL le faut... Je cherchais dans les moindre recoint de la ville mais pas de Futaba... J'étais inquiet pour elle, je me le pardonnerais jamais si il lui arrivait malheurs, ni même si elle était en danger... Il me reste plus qu'à prier dieu pour qu'elle soit prudente mais je pense trop en demander en disant ça.... Je serre les poings et décide de laisser un message sur son répondeur, je préfère le lui dire en anglais à cause de ma gêne. 

Soudain, je la vois, marchant en traînant des pieds et en s'essuiant le nez avec la manche de son pull. Elle ressemble à une enfant mais en la voyant je ne pu m'empêcher de lui sourire. Malgré le fait qu'elle ne le voit pas, je ne peux m'empêcher d'être protecteur envers elle, elle est spécial à mes yeux. C'est la personne qui compte le plus, je serais capable de vendre mon âme au diable pour elle ! Je m'avance vers elle a petit pas, doucement mais sûrement. D'un coups, elle se mît a traversé sans regarder, je cours vers elle, le plus vite possible en voyant une voiture rouler à toute vitesse vers elle. Je courrais aussi vite que je le pouvais, j'étais trop loin, est ce que j'allais arriver à temps ? Je ne sais pas mais je ne me pardonnerais pas si il lui arrivait malheurs, ni même si elle devait mourir,  je ne me le pardonnerais jamais. !! Elle est tous qui me reste de précieux,  je veux la sauvé. Mon Coeur battait fort, mon souffle était irrégulier, mes jambes commençait à me lâcher mais je m'en moquais tous que je veux c'est la protéger, c'est ma raison de vivre, ma lumière, mon soleil, ma planète.  Je tourne autour d'elle, je ne veux pas qu'il lui arrive quoi que ce soit. Alors je cours, je cours aussi vite que possible, je cours aussi ne plus m'en arrêter,  je pousse les passants, fais tomber des personnes mais je cours, je ne m'arrêterai pas temps que je ne l'aurais pas dans mes bras. J'arrive,  j'y suis, fatigué, je tends le bras, utilise mes dernières forces pour sauter et la pousser le plus loin possible, tous ce passe extrêmement vite, mais elle se retourne me regarde et ferme les yeux.

Futaba

 J'ai entendu ça voix.

- FUTABA !!!

Je me retourne, ça voix était forte comme pour me prévenir de quelque chose, soudain au moment ou je me retourne vers lui, il me projette aussi loin que possible avec ses bras. Je voltige assez loin. Je me léve quelques minutes après, je me retourne, et je le vois.... Il est allongé sur le sol, je porte mes mains à ma bouche choquée, les larmes me montent, je cours vers lui. Je m'accroupie,  le regarde, il avait du sang sur tout le visage, ses paupières étaiet clos, je saisis mon portable en appelant les ambulanciers le donne mon lieu et les supplis de faire vite, je le regarde, les larmes aux yeux, la boule au ventre je pleurais toutes les larmes de mon corps, je m'excusais. Je le suppliais de rester en vie, que j'avais besoin de lui il le fallait. 

Elle ambulanciers arrivèrent,  ils l'embarquent dans le camion puis je demande à venir, l'un d'eux se retourne et me demande :

- Tu es ?

Je réfléchis et proclame :

- sa petite amie...

A suivre...