Your Name roman de Makoto Shinkai adapter aussi en film. Que cela soit le film ou le roman tout deux on était un succès fou auprès des spectateurs du monde entier. De plus, l'auteur nous a habitués à sa vision des liens amoureux avec au-delà de l’espace du temps ou encore 5 centimètres par seconde. Your Name ne s'éloigne pas des petits bouts de ces précédents histoires qu'on peut d'ailleurs retrouver éparpillés dans le roman. L'âme de  l’artiste est bien présente, dans le fond, comme dans la forme avec des décors magnifiques : les paysages de jours comme de nuit sont des paysages qu'on a envie de contempler ! Tout comme les personnages. 

Pourquoi ?

Tout d'abord, on commence par un cours premier chapitre qui permet de nous introduire dans le roman. Ce premier chapitre nous explique la situation de nos deux protagonistes. Au départ, on a du mal à différencier Taki de Mitsuha, on est sur du : qui est qui ? mais plus on avance dans le roman, plus on arrive à distinguer les deux personnalités. Et surtout, on arrive à savoir qui est dans le corps de l'autre si il y a un changement de corps. Par ailleurs, les échanges de corps sont bien développés ! Ils ne sont dans pas bâclé dans le sens où on voit ce que représente être dans le corps de l'autre. Je trouve que l'échange le plus développé est celui de Mitsuha dans le corps de Taki. On le voit, elle est gênée, déjà pour aller au toilette par exemple, mais en plus pour se comporter comme un garçon, elle a beaucoup plus de mal puisque sa personnalité féminine ressort et on le voit à de nombreuses reprises.  Alors que Taki lui, se comporter comme une fille sans de trop de difficultés. Même si au début il avait un peu de mal il faut le dire et qu'il rencontre certaines difficulté. Taki profite aussi du corps de Mitshua, pas dans le mauvais sens (même si il y a eu un débordement) !! Dans le bon sang du terme bien sûr. Mais pour lui qui est un garçon, qui se retrouve dans le corps d'une fille, il sait quoi faire pour faire tomber les garçons amoureux !! On pourrait dire que Taki s'adapte plutôt bien au corps de Mitshua. 

Ensuite, les personnages sont développés de façon à se qu'on s'attache à eux, ils sont maladroits mais pleins de bonnes attentions. Ils veulent aider l'autre. Et voir les changements de corps, pouvoir nous aussi connaître la vie de chaque personnages à la campagne ou à Tokyo fait qu'on est pris dans le livre, pris dans leur émotions d'adolescents de dix-sept ans. Le livre est émouvant il n'y a pas à dire et à plusieurs reprise, j'ai pu ressentir ce que eux aussi ressentaient. Parfois, au cours de la lecture, on ressent de angoisse à cause des événements par se qu'on lit tellement l'écriture jouer un rôle sur les émotions. Mais d'autre fois, on pouvait ressentir de la tristesse, amertume à leur égard. Pour ma part, j'ai trouvé ce roman vraiment bien construit sur les émotions qui sont en plus communicatif  ! 

Mais, il n'y a pas que les émotions qui sont bien écrit, il y aussi l'histoire, le roman est écrit par Makoto Shinkai mais raconté par des adolescents de dix-sept ans donc on est plus réceptif par ce qu'ils disent et les mots sont très simple ! Et aussi très actuel. L'auteur nous simplifié les mots pour qu'on puisse s'identifier bien plus facilement à eux même si c'est un peu exagéré de temps à autres... L'histoire se lit très vite, le roman ne contient que 224 pages environ ce n'est pas un roman très épais en plus, la police est plutôt grosse ce qui simplifie encore plus la lecture et nous permet de dévorer le livre !!

Pour ce qui est de la fin, comme j'ai pu le dire pour le film, la fin porte non seulement bien le nom du film mais en plus elle fini en queue de poisson !! Je ne dirai pas que c'est décevant, sinon je serais malhonnête mais on attendait que Taki et Mitshua soit plus l'un vers l'autre. D'ailleurs, pour ce qui est du nom du film, on le retrouve souvent dans le roman, ce qui fait que le roman porte bien son nom.

Voilà je pense en avoir assez dit, si vous avez quelque chose à rajouter, un avis ou autre en commentaire, allez-y, ça fait toujours plaisir, à bientôt et merci.