•  - Non ! C'est... c'est TOI QUE J'AIME !!

    Il me regarde avec le sourire. Il s'approche de moi et il m'embrasse. Son baisé était doux et sincère. Ses lèvres chaudes et un peu versé. J'ai attendu cet instant depuis tellement longtemps ! Je ne regrette pas mon choix, maintenant je sais, je sais ce que je ressens.

    - Futaba je t'aime et je ne te laisserai pas partir ! 

    Page 34 : A l'hôpital

     


     J'étais si heureuse à ce moment là. J'aurais voulu que les minutes cessent. Que l'on reste à s'embrasser comme cela pour toujours. Ensemble rien que lui et moi. Pourquoi ai-je pris autant de temps à choisirentre les deux alors que celui que j'aimais véritablement était juste sous mes yeux  ! Il n'y a pas eu un moment ou je n'ai cessé de penser à lui, même après le fait que je devienne amnésique temporairement. Mais après 1 ans, je me rends compte que j'ai fais le bon choix, inconsciemment, je l'ai choisis, mon coeur la choisi. Je le regarde, les larmes me montent aux yeux, aux bords de mes yeux, elles glissent lentement sur mes joues, elles laissent leurs traces, mes larmes salées, celle que j'avais réservé pour le jour ou il me dirait qu'il m'aimerait. Je le regarde, il me fixe, et passe ses longs doigts sur mes joues pour essuyer cette eau roullante sur ma peau. Il me fixe pendant que mes yeux me brûlaient. Il tire sur la manche de son vêtement et la passe sur mes paupières. 

    • Pourquoi pleures tu ?
    • J-je... je. Je j-j-jeuh... bégayais je
    • Tu sais, si c'est parce que tu t'en veux encore, ne t'en fais pas, je vais bien.
    • N-non c'est p-p-pas ça, reniflais je
    • Alors pourquoi ?
    • J'ai attendu ce moment tellement longtemps, c'était dur, dur de faire semblant, je t'aimais tellement.... C'était difficile...
    • Je sais je m'excuse d'avoir traîné, en faite je dois t'avouer quelque chose....
    • ??? 

    Je le regarde attentivement, intriguée par sa révélation qu'il allait me faire. Il baisse les yeux honteux de ce qu'il allait dire.

    • Et bien, quand je t'ai rejeté lors de ta déclaration en avril dernier et bien....
    • Et bien ?

    Il se tue, il semblait vraiment honteux, je le voyais sur son visage. Je pose ma main sur la sienne et lui soutient le regard avec un sourire rassurant. 

    • Je t'aimais mais je t'ai rejeté parce que je ne voulais pas sortir avec toi... C'était trop tôt. 
    • Oh......

    J'étais comme choquée et à la fois blessée. "C'était trop tôt disait il" comment ça  ? Je fixe nos mains perturbée. Son autre main qui semblait être libre heurte ma tête, elle caresse mon crâne comme si j'étais une chatte. Mon exitation s'était envolé en moins de temps qu'il n'en fallait. Il me regarde avec un leger sourire d'excuse. Ma tête restait toujours baissé alors il pose sa main sur mon menton et me le relève pour me regarder droit dans yeux. Il s'approche de mon visage et depose un doux baiser rapide sur mes lèvres. Un, deux, trois, quatre baisés sur mes lèvres. Je ne peux que succomber à son charme et ses excuses. 

    • C'est bon... je te pardonne...
    • Merci.... MH.... Mon... euh... ange...

    Il l'avait dis en ffaisant une grimace ce qui me faisait pouffer de rire. Il était rouge, c'était tellement mignon, que j'en riais à en avoir mal au ventre !

    • Tu n'es pas obligé de te forcer, tu peux juste m'appeler Futaba. 
    • Oui oui.

    Il était contrarié par ma remarque,  je regarde l'heure sur mon portable, l'embrasse sur le front et sortit de la chambre. Descendit les escaliers, en sortant, je croisse Touma. Je regarde plantée devant lui. 'Je ne savais pas quoi lui dire.

    • Tu as fais ton choix, je comprends, mais.... Je ne compte pas renoncer à toi pour autant. Je ferais tout mon possible. 

    Je le regarde avec une profonde tristesse dans mon regard. Il me tourne le dos et partit en marchant tranquillement. Si seulement il pouvait passer à autre chose. M'oublier tout simplement. Mais il en est incapable. Il m'aime et... je dois regler ce problème la. Mais comment lui faire comprendre ? Comment lui dire que je ne pourrais pas l'aimer comme lui m'aime ? Je pousse un profond soupire. 

    • Dire que tout était si simple il y a quelques minutes... 

    Je regarde ma portable, ma mère m'ordonnait de venir immédiatement à la maison, je savais déjà qu'elle allait me pour pour mes sortis en pleine nuit, rien que d'y penser à son sermon, j'en avais mal à la tête. Je pris mon temps pour rentrer chez moi, une fois à la maison, ma mère me fit la morale sjr les risque des sortis de nuit, de mes caprices de filles amoureuse... Je m'excuse au près de ma mère et monte dans ma chambre, à ma grande surprise, je n'étais pas puni.... Je me couche dans mon lit face à un nouveau problème : Touma ! Il a donc décidé de tout faire pour que je lui appartienne mais mon coeur est déjà pris. Rien. Rien ne pourra changer quoi que se soit dans ma décision. Je ferme mes yeux et m'endormis. 

    Le lendemain, mon portabe vibrer sur la table de chevet, je deccroche et  reponds.

    • Je t'attends au parc Sangaku sous l'horloge. !

    Il avait ensuite raccroché, je n'étais pas réveillée et c'était pas gagné, je descends les escaliers pour me rendre la cuisine. Ma mère y était déjà. Je fis mine de prendre un verre pour boire. Je ne pourrais pas passer par la porte, mais pqs par la fenêtre de ma chambre....

    • Maman, je vais... réviser chez une amie, je peux y aller ?
    • Si tu veux voir ton copain il suffit de le dire tu sais.

      

    Mince, ma mère ma percé à jour ! Je m'assois sur une chaise et l'interrogatoire commence, toutes les questions les plus évidente et loufoque possible. Puis elle me rapelle que je pouvais le voir quand je le désirais à condition de ne pas négliger mon travail et de faire des sorties en pleine nuit. Je la regarde droit dans les yeux, elle semblait sincère alors je monte en courant dans ma chambre, je m'habille chaudement et sort de la maison. Je traverse les rues en courant. J'arrive la première au parc, j'attendis quelques minutes quand il arrive vers moi en me tendant des fleurs, je le regarde ravis de ce qu'il m'offre. Un magnfique bouquet de fleur ! Je le regarde le sourire aux lèvres et il s'avance vers moi, posant sa main sur joue, ses lèvres touchant les miennes.

     

    Les fleurs en mains, nous décidions de nous promener dans le parc. Ses sourires m'avaient manqués. Maintenant, nous ne sommes plus amis, nous sommes en couple ! Tenir sa main chaude, l'embrasser sur la joue, lui dire je t'aime, s'appelait plus souvent, rire plus qu'autrefois maintenant je pouvais tout faire ! Mais une question me trotte dans la tête, je le regarde et lui demande :

    • Kô tu as déjà aimé quelqu'un d'autre  ?
    • Non, je n'ai jamais aimé une autre fille que toi alors je ne sais pas ce que ça fait.
    • J-je vois...
    • Pourquoi ?
    • Comme ça simplement par.... curiosité.
    • Tu doutes de moi ??
    • Non pas du tout c'est pas ça  !

    Page 35 : Sans toi...

    Il se mit à rire, il semblait flotter sur un nuage ce qui me rendait joyeuse. Il n'est pljs le Kôga d'autrefois, il a grandi et mûri, il a fait preuve de courageet de patience, il attendait le bon moment peut être  ? Il faut dire que notre histoire avait plusieurs fois pu commencer mais plusieurs fois on est restés au point de départ. Quand je le vois sourire de cette façon, mon coeur s'emballe et je suis incapable de réfléchir correctement. J'ai peur que quelque chose viennent tout gâcher. De plus, Touma va tous faire pour nous séparer, comment reagir face à ça  ? Devrais-je le dire à Kô  ? Mais si je lui dis, il pourrait perdre son sourire et s'énerver et j'ai pas envie de ça... Je tiens sa main asssez fort pour lui faire signe de s'arrêter, il s'arrête et se retourne . Le sourire aux lèvres, j'hésite à lui en parler. Il s'approche de moi, se mit à ma hauteur pour me regarder droit dans les yeux. 

    • Alors c'est quoi qui te tracasses comme ça. ?
    • Mh......
    • Tu peux tout me dire tu sais... sauf me parler de séparation d'accord  !
    • Oui je sais, mais c'est autre chose...
    • Tu peux ,e dire, je vais pas m'énerver.

    Je le regarde dans les yeux avec un leger sourire triste, il porte sa main sur ma joue et me la caresse tendrement, avec douceur et délicatesse. Je ferme les yeux et lui chuchote :

    • Touma va essayer de me prendre à toi. !!
    • Oh ce n'est que ça  ?
    • Comment ça "ce n'est que ça " ?
    • Bah.... c'est pas si grave vu qu'on sort ensemble, tu m'aimes donc il n'y a pas de raison pour s'inquiéter. 
    • C-c'est vrai. ..

    Il me regarde satisfait, il reprend possession de ma main et nous continuions de marcher, en chemin on croise Makita avec ll'un des amis de Touma, nous l'avions vu mais eux ne nous avait pas vu encore, j'entraîne Kô dans un buisson pas très loin deux d'eux et commence à les écouter. Kô me regarde à la fois surpris et depouvu de parole.

    • Tu comptes les épié telle une psychopathe sans but particulier  ?
    • Je suis pas une psychopathe  !! Je veux juste savoir....
    • Et tu peux pas lui demander demain  ? Ou tu préférerais pas aller la voir directement au lieu de rester cacher dans un buisson comme si on était des fou ?? Si tu as pas remarqué les passant nous regarde bizarrement.... Et je n'ai aucune envie que après on pense qu'il s'est passé des choses indécentes ici.
    • Euh.... changement plan on va les voir . !
    • Futaba... la discrétion....

    Je l'avais dis tellement fort que Makita et son ami nous avez entendu, je la regarde gênée l'air de rien mais je savais ce qu'elle pensait déjà.  Kô me regarde avec la mine désespéré,  je lui fis un petit sourire désolée et regarde Makita une dernière fois, je les salue et par avec Kô le plus possible en le traînant. Nous marchons jusqu'au lac et nous arrêtons pour le contempler. Encore une fois, je ne savais pas quoi lui répondre. Je ne sais pas pourquoi, j'ai tellement de choses à dire que ça ne sort pas... Je léve les yeux au ciel et respire un coup. Une fois calme, je constate que la tête de Kô était posé sur mon épaule. Je lui caresse les cheveux et l'embrasse sur le front, mon coeur battait tellement fort que si il se penchait juste un peu il pourrait l'entendre.  Ses paupières sont closes,  sa respiration et régulière et son souffle est chaud. Comment lui résister. Son odeur, je sens qu'il c'est douché avec du gel douche à la vanille. Je vois ses épis sur son crânes, des épis de cheveux pas coiffés. Son côté gêné qu'il cache, sa mal adresse, le sourire et son rire... J'aime tout en lui, son côté imparfait,... je ne pourrais pas vivre une minute sans lui et maintenant je sais pourquoi.

       A suivre......

      

     


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