•  Narrateur Murao :

    Depuis combien de temps je révise ? Ça m'ennuie... j'ai tellement envie de le voir... Si j'étais née la même année que lui peut être que lui et moi aurait été envisageable... maintenant, je ne suis qu'une élève et lui mon prof... Comment Futaba a fait pour seduire Kôga ? Ils sont frères alors ils devraient avoir des goûts pas trop éloignés ? Ou alors peut être.... Non... Mais je n'arrive pas à le comprendre. Un coup il est proche et d'un autre il devient distant comme si il ne voulait rien briser entre nous. Mon coeur se serre dans ma poitrine. Je croise mes bras sur la table et enfouis ma tête en réfléchissant quand soudain, mon portable se mit à vibrer sur mon bureau. Je regarde qui est le destinataire. Un sourire se dessine sur mon visage. Un sourire de joie.C'était lui, il voulait me voir. C’est à la fois étrange et inhabituelle. Je ne réponds pas, je descends les escaliers au pas de course et aborde ma mère dans la cuisine. 

    • Maman ?
    • oui ma chérie ?
    • je peux sortir s'il te plaît ?
    • tu as fini de réviser ?
    • oui.
    • Hum... Bien.. C'est d'accord mais tu ne rentres pas trop tard !
    • Promis maman.

    Je sors de la cuisine, envoie un message à Yoichi pour lui confirmer et enfile mes chaussures par la suite. Ma mère me suivit et me regarde comme intriguait. Je faisais mine de ne pas comprendre sinon elle allait m’aborder de questions et je risquerais d’être en retard. Je suis partis aussi vite que possible, en courant qui plus est. Je voyais le ciel s’assombrir, je me depêchais d’arriver au point xe rendez-vous. Quand j’arrive devant le parc, je le vois de loin. Je m’arrête reprends ma respiration, sourpire et marche jusqu’à lui le sourire aux lèvres. En me voyant, il affiche une petite mine désolé. Je n’y prête pas attention. Je le regarde souriante et m’approche de lui pour le saluer mais il eut un mouvement de recule. Je reste stupefaite.
    si

    • je t’ai faite venir c’est pour te parler.
    • me parler de quoi ?
    • je vais être franc avec toi Murao.

    Mon coeur commence à se serrer dans ma poitrine, je ne sais pas pourquoi j’ai comme un mauvais presentiment, une boule la gorge apparaît. Je le regarde avec serieux.
    on ne peut plus continuer à se voir. Tu es une élève et moi ton prof. Il ne se passera jamais rien entre nous. Tu dois le savoir. Je ne veux plus qu’on se voit en dehors du lycée, je ne veux plus que tu me vois comme un ami. Je suis ton prof c’est tout.

    • m-mais.. Je..
    • non Murao... J'ai apprecié le temps en ta compagnie mais il faut arrêter. Pardonnes moi.

    Je baisse la tête, tremblante par ses paroles, je le regarde impassible prenant sur moi, je lui souris faussement, mon coeur est dechiré. Il s’approche de moi et m’embrasse sur le front et il partit. Je ne me retourne pas, je ne le regarde pas, je ne peux pas, les larmes coulent le long de mes joues, je serre les dents mais se qu’il venait de dire me dechire. Je ne peux pas l'accepter, je n’y arrive pas. Je regarde le sol, serrant les poings, je partie en direction de chez moi, les larmes ne cessait de couler, je ne pouvais pas faire autrement que de pleurer, je me sentais impuissante. “ je ne veux plus qu’on se voit” comment peut il me dire ça après tous qu’on a vécu ensemble... Je ne peux pas l’accepter, c’est pas possible. Je regarde autour de moi, me rendant compte que je ne m’étais rendu sur le chemin de chez moi, j’étais devant la maison de Yoichi. Je la regarde, la fixant, je partie en courant, arrivant ensuite devant chez moi, je séche mes larmes les retenant et essaye de sourire mais je n’y parvins pas. J’ouvre la porte de chez moi et partie directement dans ma chambre en claquant la porte m’assurant qu’elle soit bien fermé. Je glisse le long de la porte, laissant les larmes sortir d’elles mêmes, je pose ma main devant ma bouche pour étouffer mes pleures, pour pleurer en silence. Je n’arrivais à réaliser se qui venait de se passer. 

    J’avais passé mon après de dimanche à pleurer. Le soir quand il fallu manger je ne saute le repas et me couchait directement. Malheureusement je ne trouvais pas le sommeil necessaire. Le lendemain, j’avais les yeux rouge, une migraine insoutenable à cause de mes larmes de la vieille. Mais je voulais aller en cours pour l’affronter. En arrivant au lycée, Futaba et Kôga m’abordent. Je les regarde en souriant faussement. Puis je vu Yoichi arriver, le voyant, je cours jusqu’à lui.

    • Yoichi faut qu’on parle.
    • C’est M.tanaka ici.
    • M.Tanaka on doit parler.
    • j’ai déjà dis tous ce que j’avais à dire.
    • non pas moi...
    • Aller dis les moi et vite.

    Il est froid, je ne l'ai jamais vu comme ça... Pas une seule fois... Il n'avait réagis comme ça avec moi.. Je suis desorientée... Que dois-je dire, que dois je faire... Je dis rien.. Je me contente de le regarder.
    tu n’as donc rien à dire... Réplique t’il en soupirant, tu me fais perdre mon temps !
    Mes yeux s’ouvrit suffisamment grand, choqués, je relève la tête et tends ma main vers lui comme pour l’attrapper mais il est déjà loin. Je baisse la tête, les larmes au bords des yeux, les élèves passant en ignorant se qu’il se passe, j’avance dans l’établissement à petit pas. Ne faisant pas attention autour de moi, séchant mes larmes avec ma manche de blazer, je percute quelqu’un, je m’excuse mais il m’attrape par la main pour me retenir.

    • Murao !
    • ko...minato...


    Il baisse les yeux et me regarde ensuite dans les yeux quelques secondes après comme pour me dire “ Je suis au courant”. Je detourne le regard, je me detache de lui, lui souris, un sourire crispé et repars. Je vais en direction de la classe, en voulant y entrer, j’entends la voix de Yoichi rire avec les élèves en attendant la sonnerie. Je m’appuie le dos contre la porte et souris joyeusement en repensant aux souvenirs. Je me rappelle de ses premières paroles. “ Eh Murao il faudrait que tu te decide pout ton orientation. Je suis inquiet à se sujet” tels sont ses mots gravés dans ma mémoire. Les larmes aux bords des yeux, me souvenant de son sourire radieux. Je partis en courant, monte les escaliers, oivre la porte en direction du toit et la referme me mettant à pleurer. Je séchais donc la premiére heure pour pleurer. A la deuxième heure, je me présente en classe, croissant Yoichi, je m’arrête pour le regarder. Le coeur serré, les larmes voulant sortir une nouvelle fois, je prends sur moi. J’entre dans la classe. J’entends déjà les rire des élèves. Je m’assois à ma place du fond et attends que la matinée se termine. A midi, une voix me fis sortir de mes songes du passés, je tourne la vois Futaba m’appeler le sourire aux lèvres, Makita qui tenait la main de son copain et Kôga qui embête Futaba comme à son habitude. Se genre de chose qui habituellement me fait rire, ne me touche en aucun point. Je pris mon dejeuner, les yeux voilés de larmes, je passe ma manche dessus pour les secher quand je sentis une main se poser sur mon épaule.

    • je lui la Murao.

    C’était Kominato. Il était toujours la quand j’avais desoin de lui, c’est un ami fidéle. 

    • tu n’as pas besoin de faire semblant avec moi tu sais.
    • je sais mais... 
    • ne t'inquiéte pas. 

    Il se tourne vers Futaba et se mit à crier dans la salle de classe.

    • Futaba ! Murao mange avec moi cette aprés-midi allez y vous.
    • ok à toute alors !

    Il lui fit signe avec la main, Kominato prit mon sac en plus du sien.

    •  viens on va chez moi.

    J’hoche la tête, retenant mes larmes, il passe son bras autour de moi, on traverse le couloir, sortit de l’établissement et on partit chez lui.
    Une fois arrivée, j’enlève mes chaussures. Il pose nos affaires dans l’entrée et me dirige vers son salon. Je n’avais jamais vu sa maison. Je passe en revu rapidement les lieux, je voyais aussi des photos, des photos sur lesquels apparaissaient souvent une petite fille agées de 12 ans evirons.

    • kominato c'est qui cette fille sur le cadre. Je ne l'ai jamaks vu avant...
    • c’était ma soeur... Replique t’il tristement
    • c'était ?
    • elle est décédée.
    • oh... Desolé...

    Il me sourit légèrement, je baisse les yeux. Puis je m'affale sur le canapé. Je soupire, regardant le jardin. Kominato m'appelle dans sa cuisine j'arrive à sa rencontre, il me tend une grosse pastéque et une baton en bois. Je le regarde intriguée.

    • Tu vas t'énerver dessus.
    • Euh....
    • Quoi ?
    • Rien.. C’est juste stupide non ?
    • Non fais le, viens.


    Je le regarde et hausse les épaules, il pose la pastéque dans son jardin, je le suis. Il me donne des lunettes de protection que je mis puis il s’approche de moi et m’attache les cheveux. Je fus surprise qu’il sache faire ça aussi facilement et aisement. Il me sourit, je prends le baton et commence à taper dans la pastéque énervait. J’y mettais toute ma force, en criant, en pleurant, en repliquant pourquoi, en l’insultant, les souvenirs refaisait surfasse, me rongant de l’interieur, les souvenirs si doux, si joyeux. J’hurlais de douleur, j’hurlais pour lui. Puis je lâche le baton en bois et pleure encore, encore de douleur, encore. Il s’approche de moi, me serrant dans ses bras, me rassurant. Je me sentais mieux. [...]
    Deux semains s’était écoulée, il me parlait toujours pas, il m’évitait et bien évidemment je pleurais chaque jour de douleur. Futaba, Makita, Koga ignorant se qu’il se passait, Kominato au près de moi chaque jour, me voyant souffrir intérieurement, pleurer, ne mangeant que très peu et ne dormant pas suffisemment, il avait décidé de passer à l’acte. Un week-end, il s’était rendu chez Koga, énervait plus que jamais, il avait pris sur lui jusque là mais me voyant ainsi me detruire, il a reagis. Il avait toqué à leur porte et Yoichi avait ouvert, j’étais avec lui, avec kominato, il lui a decroché une droite en plein dans le visage qui le fit tomber. Il se penche pour être à sa hauteur et le saissis par le col de son tee-shirt criant sur lui.


    • Enfoiré ! TU TE RENDS COMPTE DE SE QUE TU LUI AS FAIS !! TU L’AS SOUFFRIR !! ORDURE ! COMMENT CROIS TU TRAITER UNE FILLE AMOUREUSE HEIN ?!! TU L’AS DETRUIT TU T’EN RENDS COMPTE !! REGARDE LA, REGARDE LA BIEN, REGARDE CE QU’ELLE EST DEVENU A CAUSE DE TOI.

    Il lui redonne un coup, le regarde faire sans bouger, les larmes aux yeux, il me regarde, Yoichi pose ses yeux sur moi quand Kominato emploie le mot “ fille amoureuse”. Mes yeux voilés de larmes, le regarde. Mais je ne le regardais pas vraiment. En deux semaines j’avais énormement maigris et j’avais les yeux cernés. Je ne venais même plus en cours.
    Koga était déscendu en entendant Kominato crier accompagné de Futaba. Futaba me devisageait et accouris vers moi. Koga, regarder Kominato sans bouger puis Yoichi se dresse et rend le coup de Kominato en plein dans son visage. Une bagarre eclate alors.

    • Murao !! MURAO est ce que tu vas bien ??
    • Fu...Futaba...
    • Murao... Qu’est ce qui t’ai arrivé bon sans...

    Elle me regardait inquiéte. Il touche mon front avec la paume de sa main.

    • Mais tu es brulante !!

    Elle se tourne vers Koga.

    • Koga fais quelque chose !! Il faut en mener Murao à l’hopital le plus vite possible.

    A ces mots, Koga serre les poings et mit un coup a Kominato et à Yoichi.

    • Bon maintenant que vous vous êtes tapés dessus ça doit aller mieux non ?! Yoichi, je veux une explication de toute l'histoire,
    • kominato... Laisses tomber...
    • Murao, murao, gardes les yeux ouvert, regardes moi, murao ! Murao !

    Je voyais de plus en plus trouble, je ne distinguais plus rien, je me laissais aller.
    Yoichi c'est de ta faute ! Fais quelque chose ! Réplique Futaba en larmes.
    [...]

    A mon reveil, j’étais dans une chambre,  seule, j’avais mal aux yeux, je les referme, le coeur lourd mais soulager par les coups de Kominato à Yoichi, je me rendormis en versant des larmes. Je ne suis donc bonne qu’à pleurer....


    A suivre.... 


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