• [L.N.] My Teen Romantic Comedy #20

    My teen romantic comedy, deuxième tome de Wataru Watari est plus fin comparé au premier tome mais contient de très gros chapitres !!
    On suit une nouvelle fois notre petite bande de lycéen, qui commence d’ailleurs à s’agrandir via le club du volontariat. J’ai beaucoup apprécié ce deuxième tome. Malgré le fait que les chapitres étaient long. Cependant, cela ne m’a pas empêché de dévorer le bouquin en seulement une journée et demie !
    My Teen Romantic Comedy se dévoile de plus en plus. On en apprend un peu plus sur nos protagonistes, leur intérêt mais aussi une partie de leur passé. Comme leurs sentiments. Il a été l’un des titres les plus rafraîchissant pour moi cet été !

    L’histoire…

    L’histoire paraît comme dans le premier tome réel. J’en aurais presque envie qu’elle soit la mienne. Elle est rafraîchissante. Au sens où elle nous rappelle certains souvenir de notre vie avec : nos années collèges, lycées, notre premier amour, etc.. On y ressent donc de la nostalgie. Mais pas seulement, j’ai aussi l’impression de trouver dans ce livre, une part de moi-même au travers des personnages qui ont tous une certaine similitude avec moi. Cela doit aussi vous faire cela ?
    La trame de l’histoire est tellement intéressante du fait qu’elle pourrait être vraie. On se sent comme proche de l’histoire mais aussi des différents protagonistes.

    J’ai pu voir dans ce deuxième tome de nombreuses références. Encore une fois sur les séries animés ou des mangas connus pour certains ou bien même, inconnu pour d’autre… Et, c’est là que j’interviens et que je vous dis, nous avons bien plus de références au monde de la Japanimation que dans le premier. Elles sont même très bien expliqués pour ceux qui ne les connaissent pas !

    La plume Watari Wataru

    Attardons-nous un petit peu, maintenant au style d’écriture. Le style est plutôt simple. L’auteur n’utilise pas vraiment de mot compliqué. Ils sont faciles d’accès. On ne bute pas pendant la lecture ce qui fait que l’on peut facilement se projeter ! Par ailleurs, on y ressent aussi l’âme et la plume de l’auteur.

    Lors de ma lecture pour la postface de Watari Wataru, ce dernier évoque son passé, sa jeunesse de lycéen comme étant “douloureux”. Je ne peux que supposer qu’il transmet une énorme par de lui-même dans son oeuvre. Et c’est ce qui fait de ce titre quelque chose de vrai, de simple et d’unique.

    Multiples intrigues….

    Passons maintenant aux intrigues pures et dures de My Teen Romantic Comedy où nous retrouvons nos chers adolescents pour une nouvelle mission. Enfin, devrais-je dire, deux nouvelles missions et pas dès plus simple.

    Pour l’occasion, nos héros devront régler un cas assez particulier. Il est entièrement lié à la popularité de notre cher Hayato Hayama. J’ai trouvé cette partie le concernant très intéressante dans la mesure où nous voyons réellement qui il est de près. Et non pas de loin, comme dans le premier tome. On a pu voir que Hayama n’est pas le type populaire comme dans beaucoup de mangas : arrogant, vicieux, méchant. Mais au contraire, il est volontaire et avant tout gentil.

    Concernant notre deuxième affaires, c’est Saki Kawasaki, encore un jeu de prénom.  Notre auteur doit adorer cela ! Pour cette petite “délinquante”, je n’emploie pas le mot “petite” pour rien. On prend cette jeune fille pour ce qu’elle n’est pas. Mais en même temps, elle ne fait pas beaucoup d’effort non plus…
    Vous l’aurez peut-être remarqué mais cette partie de l’intrigue prend tout de même plus de la moitié du
    Light Novel. C’est pour vous dire à quel point il est important !

    Si le premier volume était davantage concentré sur la relation Yukino et Hachiman. Dans ce tome-ci, l’auteur se concentre un peu plus sur c Yui, quitte à faire passer Yukino quelque peu en second plan. J’ai pu remarqué cela grâce au couverture, elles mettent la puce à l’oreille. Sur le premier tome c’est Hachiman et Yukino et sur ce deuxième, c’est Yui et Hachiman.
    Toutefois, ce choix judicieux qu’apporte l’auteur nous offre certaines révélations comme par exemple : la nature des sentiments de
    Yui. Mais pas seulement, ce choix offre aussi une occasion à ces deux protagonistes de s’exprimer clairement. Ils sont tout de même assez différents tout les deux… Du coup, leur rapprochement est plus une sorte de chance inouïe. Et c’est notamment grâce à l’accident qu’a eu
    Hachiman, dans le premier tome qui superficiellement évoqué, qu’il rencontre Yui.

    Les protagonistes…

    Une amitié peut faire changer…

    Yukino Yukinoshita, jeune fille intelligent, qui n’a pas besoin de trop se forcer pour comprendre les choses ni même pour réussir. Dans le premier tome, si elle nous apparaissait froide, sans cœur et sans pitié. Elle ne mâchait pas ses mots…
    Dans ce tome, elle nous apparaît plus humaine, pour la simple raison que son cœur si glacial commence à être ébranlé par la jeune et belle, mais aussi idiote
    Yui. A noter, que Yui commence à la faire changer sans que Yukino ne s’en rend compte. Mais il y a aussi le fait qu’elle discute avec Hachiman et tous les autres comme Totsuka et Zaimokuza.  A vrai dire, j’ai particulièrement hâte de voir le moment où elle sera faible d’esprit pour qu’elle trouve le confort au côté de Hachiman ou de Yui.
    Je me suis pas encore attachée à elle, bien qu’elle est eu un rôle principal dans le premier tome. Qui plus est, on ne sait rien d’elle et quand elle parle, ce n’est pas pour dire des choses agréables. Toutefois, j’ai bonne espoir de la voir changer et s’adoucir un peu plus pour qu’elle laisse parler ses émotions.

    Pour ce qui est de Yui Yuihagama, c’est une cruche dans tous les sens du terme. Et pourtant, elle essaie de faire des efforts pour changer et c’est ce que j’aime chez elle. Quitte à passer pour une idiote, elle essaie de faire de son mieux, c’est ce qui la rend attachante !
    Malgré tout, l’auteur la met en avant dans ce tome et on apprend que bien qu’elle soit idiote comme ses pieds, elle a un grand cœur. Elle fait passer le bonheur des autres avant le sien. Sa sincérité renvoie un sentiment de confiance et de bien être aux personnes qui l’entourent. Bien qu’elle est quelquefois du mal à mettre des mots sur ce qu’elle ressent….
    Pourtant, on ne dirait pas comme ça, mais
    Yui est du genre à s’énerver pour défendre ses ami(e)s et exprimer avec aplomb tout ce qu’elle ressent !
    J’aime beaucoup
    Yui, elle est gentille, agréable et attachante. Elle est idiote et que quelquefois je désespère. Mais c’est une des protagonistes probablement la plus honnête et sincère avec elle-même. J’espère qu’elle ne gardera pas le rôle de la fille stupide, gentille et à grosse poitrine dans les prochains tomes. Et, j’espère qu’elle apportera un peu de son savoir à ses ami(e)s…

    L’éternel solitaire…

    Hachiman Hikigaya, toujours égale à lui-même, narrateur principale de notre l’histoire. Je l’ai trouvé tout bonnement poétique dans ce tome. Même si je pouvais à ne rien comprendre à ce qu’il nous baragouinait de temps à autres. J’ai énormément apprécié ces petits moments de poésie !
    Pour en revenir à lui, peut-être l’avez-vous remarqué mais
    Hachiman témoigne un certain sis-con envers Komachi et il ne l’assume pas ou alors ne l’a t-il pas remarqué ?
    Par ailleurs remarquons que
    Hachiman semble beaucoup aimer Totsuka. On voit clairement qu’il est assez dégoutté du fait qu’il soit un garçon et non pas une fille, ce qui peut se comprendre. Mais Hachiman et Totsuka ferait un superbe couple Yaoi. Dans l’esprit de notre “héro”, on voit beaucoup parlé de Totsuka comme un potentiel petit-ami, c’est à se demander s’il n’est pas de l’autre bord, ce qui serait assez marrant en soi !
    De plus, j’ai pu remarqué que dans l’histoire, qu’il détenait une capacité de réflexion étonnante. J’ai moi-même pas pu réussir à éluder les différents mystères alors qu’il y avait des éléments sous mes yeux ! On pourrait donc dire, qu’il ferait un excellent détective !
    Je me suis vraiment attachée à ce protagoniste, il est aussi gentil qu’un agneau bien qu’il ne soit pas très bavard, je m’identifie à lui à chaque fois.

    Les rôles pas si secondaires…

    Passons maintenant, à nos deux rôles secondaires : Saika Totsuka, Yoshiteru Zaimokuza et Komachi Hikigaya.

    Saika Totsuka, ressemble à une fille. Il a des mimiques de filles et pourtant, c’est un garçon. Quelle frustration pour nous mais aussi pour Hachiman car c’est LE protagoniste mignon de toute la bande. Celui à qui tu ne peux pas dire non quand il fait ses yeux tout rond. On ne sait pas grand chose le concernant. Il est gentil, timide, il a du mal à exprimer ce qu’il ressent.
    Je n’ai donc pas eu l’occasion de m’attacher à lui encore, j’espère que prochainement j’en aurais l’occasion.

    Pour ce qui est de Yoshiteru Zaimokuza, une espèce de personne atteinte par le syndrome du Chuunibyou. Zaimokuza est le personnage désespèrent de l’histoire, le genre marrant mais lourd au bout d’un certain moment. On ne sait qu’il veut devenir écrivain mais ce qu’il écrit semble assez nul.
    Je ne me suis pas non plus attachée à lui mais je ressens un sentiment de pitié envers ce personnage.

    Komachi Hikigaya, est comme toutes les petites sœurs vicieuses. Dès quelle peut obtenir quelque chose, elle n’y manque pas. Elle est donc aussi opportuniste. Elle aime marquer des points auprès de ses parents c’est-à-dire : se faire bien voir.
    Cependant, elle aime beaucoup son grand frère. Elle ne veut pas lui causer de soucis et pourtant elle le fait mais sans le vouloir.
    J’apprécie quelque peu son tempérament, elle est adorable, je comprends son point de vu de petite sœur !

    Des cas particuliers ?

    Et enfin, passons à nos deux cas du club des volontaires qui demandent de l’aide sa voir : Hayato Hayama et Saki Kawasaki.

    Hayato Hayama, il incarne la perfection à l’état pur : beau, gentil, serviable et optimiste. Il ne voit que les qualités d’autrui, d’autant plus qu’il est populaire. Il attire donc tous les regards. Hayato fait tourner les têtes de plupart des jeunes filles de son lycée comme il inspire le respect chez les garçons.

    De plus, dans le premier tome, on a beaucoup entendu parler de lui. Toutefois, il était au troisième plan, on ne le voyait qu’en apparition. On le connaissait sans même le connaître. On savait qui il était et comment il était sans même le savoir ce qui est assez étrange en soi… Mais après tout, nous sommes également comme ça. Quand nous voyons une personne s’appelait X et dire ou savoir dire comment cette fameuse personne est, c’est la même chose que dans le roman.

    Ensuite, pour ce qui est de Saki Kawasaki, elle est quelque peu dans le même genre que Yukino. Dans le sens qu’elle a un cœur de glace. Elle ne se préoccupe soi disant pas des autres, ni même de sa famille. Mais qui est-elle réellement ? C’est une jeune fille avec un grand cœur. Elle est décrite par son petit frère comme étant une jeune fille sérieuse et gentille. Or, ici, on découvre qu’elle est devenue une soi-disant délinquante à cause de son comportement.

    Les illustrations…

    Pour ce qui sont des dessins, ils sont toujours illustrés par notre cher Ponkan⑧. Que cela soit la couverture comme les personnages, les dessins sont juste splendides ! Et c’est toujours le coup de cœur.
    J’ai pu remarqué que tous les protagonistes avaient tous les mêmes yeux. C’est assez surprenant sachant que je n’avais pas vraiment porté d’attention dessus.

     

    Pour conclure tout cela, je dirais que j’aime toujours et je savoure toujours autant ce Light Novel. Le premier tome m’était apparu comme une révélation mais celui-ci était une évidence. Je me rapproche petit à petit des personnages, je m’évade et retourne au lycée avec eux. J’ai même l’impression de les accompagner dans leurs péripéties !
    J’ai hâte de lire la suite de l’histoire, voir la tournure qu’elle prendra mais aussi comment les différent personnages évolueront. Voir s’ils vont changer. J’attends donc le troisième volume avec impatience ! Et vous, attendez-vous la suite avec impatience ? Avez-vous lu le Light Novel ? Qu’en pensez-vous ?

    C’est sur ces questions que se termine la review, j’espère qu’elle vous aura plu, n’hésitez pas à laisser un commentaire pour me faire part de votre avis sur la review ou le Light novel et on se dit à bientôt.

     


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  • [Manga] La Courtisane d'Edo T.2 #28

    La courtisane d’Edo, deuxième tome sorti. Après un premier tome rempli en suspense, nous en apprenons bien plus dans ce second tome.
    Si le premier a été un coup de cœur, le deuxième ne me laisse pas indifférente. J’ai énormément apprécié cette lecture et c’est avec hâte que j'entame le troisième tome !

    Des intrigues multiples… 

    Nous avons deux intrigues dans l’histoire.

    La première, elle concerne la famille d’Akane. Si on regroupe le fait que cette dernière cherche à retrouver l’assassin de ses parents et pourquoi sa famille a été destitué de son titre de noblesse.

    La deuxième intrigue concerne la recherche d’une personne également. Et c’est Sôsuke qui est à la recherche d’une jeune fille, une courtisane.

    Nous avons donc deux intrigues principales avec en secondaire : devenir la courtisane numéro une. En soi, ce n’est pas spécialement intéressant ni même important pour le moment. Je n’ai pas repéré d’autres intrigues, à moins de les avoirs peut-être manqué ?

    L’histoire…

    Nous avançons progressivement. On apprend les différentes motivations sur certains protagonistes, certains visages se révèlent enfin. On comprend qui est du bon côté ou non.

    Toutefois, entre le premier et deuxième tome, les événements avancent plutôt vite, ce qui donne un bon rythme au manga. J’en viens même à me demander combien de tomes disposera la série au final si on s’en tient aux révélation de chaque tomes.
    On commence également à ressentir le côté dramatique, qui sera peut-être, bien plus présent dans les prochains tomes.
    De ce que j’ai lu, je me suis attachée à l’histoire. J’ai particulièrement hâte de voir dans quel sens elle va progresser et surtout comment et de quelle manière.

    Des femmes à forts caractères…

    Nous poursuivons donc l’histoire de notre apprentie courtisane, Akane, jeune fille issu de la caste des guerriers.
    Que cela soit dans son langage comme dans ses manières ou dans sa mentalité, on retrouve sa noblesse.
    Dans ce tome, elle ressent de l’antipathie pour les autres jeunes filles se retrouvant dans le bateau qu’elle. Elle prend conscience que même si elle est une “prostituée”, elle dispose d’un plus grand confort comparé à certaines de ces camarades.
    On la retrouve submergée par divers émotions. Elle semble enfin réaliser dans quoi elle s’est engagée… Et commence à saisir le danger dans lequel elle s’immisce.
    Ce que j’apprécie chez cette protagoniste, c’est avant tout son côté humain. Elle a beau être forte, mature, elle a la tête sur les épaules. Elle ne cherche pas à idéaliser les choses. Et bien qu’à certain moment, ses faiblesses apparaissent, elle tente de garder la tête haute et cela la rend bien plus attachantes. Par ailleurs, même si elle est naïve, elle est prête à tout pour réussir. J’ai même pu remarquer qu’
    Akane peut-être qualifiée de “petite fille” comparée à l’expérience de Yukari.

    Yukari, c’est la fameuse rivale que l’on trouve dans les mangas. Mais elle n’est pas la rivale amoureuse, elle est celle qui veut devenir numéro un. Celle qui se fait passer pour ce qu’elle n’est pas et ne peut donc connaître qu’une fin des plus terrible. Yukari n’éprouve aucune compassion pour les autres. Tout ce qui compte pour elle, c’est elle-même. Elle met des bâtons dans les roues d’Akane tout en la ridiculiser. Or, Akane touche les hommes par sa sincérité et sa noblesse naturelle.  Pour moi, si Yukari est détestable c’est par le fait qu’elle soit fausse. Bien qu’elle touche les hommes par son charme, je suis convaincu qu’à un moment donnée, Akane la surpassera.

    Pour terminer dans nos protagonistes féminines, Asakeno ressemble beaucoup à Akane physiquement. Est-ce fait exprès ? Je ne sais pas. Je ne sais pas si elle est attachée à ses “deux petites sœurs”. Toutefois, elle semble donner un traitement de faveur à Akane, j’aimerai bien savoir pourquoi…
    Pour ce qui est de son caractère, c’est une jeune femme mature, sage comme on pourrait le dire. Elle a de bonne manière et une beauté irrésistible.
    Asakeno est le genre de femme à contempler ce qui se passe, à offrir des opportunités et d’ensuite agir en conséquence.
    J’ai hâte d’en apprendre plus sur elle mais aussi de savoir pourquoi elle est devenue Courtisane, tout comme
    Yukari.

    Des hommes têtes de cochons…

    Concernant nos deux protagonistes masculins, Sôsuke Omiya est toujours détestable. Pourtant, il a des moments de faiblesses, quand il est avec Akane.
    C’est un jeune homme froid, peu agréable. Il ne paraît pas très social non plus et sourire sincèrement lui arracherait le visage. Pourtant, même si c’est le personnage le plus détestable, c’est le genre d’homme sur qui on peut compter, s’appuyer quand on va mal. Même s’il n’est pas spécialement doué pour réconforter.
    On apprend dans ce tome, une partie de lui, c’est-à-dire pourquoi il déteste la caste des guerriers et pourquoi il est si “affolé”. On apprend ses motivations. Et il commence à tomber sous le charme de notre belle
    Akane !
    Il est certes mystérieux mais le point positif c’est qu’on peut lire en lui comme dans un livre ouvert. Il est quelque peu contradictoire dans ses propos et c’est en ça que je le trouve attachant.

    Pour ce qui est de Riitchirô, c’est l’homme de la situation près à tout pour sauver sa princesse. Il est gentil, mature, courageux, rusé, s’adapte parfaitement à la situation donné. J’ai particulièrement hâte de voir comment il va évoluer dans le manga. Après tout, c’est un beau jeune homme dévoué pour Akane, son ancienne maîtresse.
    Toutefois, même s’il a un sacré tempérament. J’ai hâte d’en découvrir plus le concernant.

    Les dessins…

    Passons aux dessins, ils sont toujours aussi sublimes. Ils sont comme dans le premier tome, nette et précis. Je ne vais pas toujours revenir dessus à chaque tomes mais je suis chaque fois plus conquise. On voit différente expressions submerger nos protagonistes, alors que je ne pensais pas qu’ils ou elles pouvaient ressentir, montrer de tels expressions, sentiments.

     

    Pour conclure, je dirais que c’est un véritable coup de coeur, encore. J’attends de lire le tome trois avec impatience et de découvrir notamment comment tout cela va se finir. Akane serait-elle une des plus grandes courtisanes ou redeviendra t-elle une noble ? C’est une piste à exploiter dans les deux sens et j’ai hâte de voir comment la mangaka fera évoluer tout ses personnages, quelles routes ils vont tous prendre… 
    Eh bien, nous voici à la fin de la review, je vous dis à bientôt, n’hésitez pas à mettre un commentaire pour me faire part de votre avis.

     


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  • [Manga] Hungry Marie T.1 #27

     Hungry Marie, manga en seulement quatre tomes est réalisé par Ryuhei Tamura, mangaka de Beelzebub. L’auteur nous propose un nouveau titre. Plus court cette fois, notamment par son manque de succès au Japon. Cependant, le mangaka reste toujours dans le même type d’humour que pour son manga précédent.
    On aborde pour ce titre un aspect historique et pas n’importe lequel. Une petite période de l’histoire de France a inspiré notre mangaka. Il l’a mélangé à un univers japonais ou les événements sont quelques peu loufoques !
    J’ai beaucoup apprécié ce premier tome. Même si j’aurais dû prendre le temps de lire car trop d’humour tue l’humour comme on dit ! Toutefois, cela ne m’a pas empêcher d’apprécier le manga.

    Une histoire de résurrection….

    Dans le manga….

    L’histoire commence avec deux éléments. Tout d’abord avec le fantôme d’une jeune fille. Et ensuite, avec le flash-back de l’enfance de notre protagoniste principal nommait Taïga. Ce flash-back présente le fameux teste de courage dans une maison soit disant hantée. C’est dedans que Taiga rencontre sa voisine Anna, une jeune fille de religion chrétienne.

    Je trouve cette histoire intéressante dans le sens où Anna souhaite ressusciter une ancienne princesse française appelait Marie-Thérèse Charlotte, fille de Marie-Antoinette. La raison est assez marrante, mais je vous laisse le loisir de le découvrir. Sauf que cette résurrection ne se passe pas comme il aurait dû se passer…

    Les choix du mangaka…

    Dans le manga, nous apprenons une partie de l’histoire de cette princesse. Mais après quelque recherches affûtées, je suis tombée sur des faits historiques divergents de ce que le manga présente.

    D’après le manga, Marie-Thérèse Charlotte s’est vu séparé de ses parents lors de la révolution Française. Ce qui est vrai, chaque membre de la famille royale était séparé des uns et des autres. Marie-Thérèse Charlotte a bien été enfermé. Elle était bien la seule et dernière survivante de la famille royale. Toutefois, le mangaka a rajouté des détails quelque peu fictif comme le fait que Marie-Thérèse Charlotte s’est enfuie et qu’une autre femme lui ressemblant aurait pris sa place. Mais aussi qu’elle serait décédé au Japon et surtout très jeune ! Or c’est faux, l’auteur aurait aussi oublié d’inscrire des éléments importants et c’est là qu’une question intervient : Aurait-il fait exprès ? Je ne sais pas à vrai dire. C’est une véritable interrogation. Il a volontairement transformé la réalité en fiction, ce qui est tout aussi intéressant.
    Cependant, afin de vous éclaircir et de vous apprendre quelque chose, pour ceux qui ne le savent pas, nous allons faire un petit point historique.

    Dans la réalité, il y a fort longtemps…

    Pour commencer, la princesse Marie-Thérèse Charlotte est née à Versailles le 19 décembre 1778. Lors de son baptême, c’est les prénoms de sa grand-mère et sa marraine l’Impératrice Marie-Thérèse dont elle reçoit les noms.

    Mais, comme l’indique le manga, le jour de la révolution Française, la famille royale est séparée. Marie-Thérèse Charlotte est confiée à Madame Elisabeth qui n’est autre que sa tante, dont elle sera séparé peu après. Elle dû apprendre à se débrouiller seule et avec le strict nécessaire. Mais aussi à raccommoder ses vêtements puisqu’elle en avait que très peu ! Elle demandait aussi beaucoup de nouvelle de sa mère et son frère, alors qu’ils étaient tout deux décédés sans qu’elle ne le sache. C’est Mme de Chanterenne qui apprendra à la princesse le décès des membres de sa famille. Et pour terminer, la princesse ne meurt pas au Japon mais en Autriche. Je vous ai épargné certains détails. Aussi, je n’ai fais que rétablir la vérité par rapport au dire du manga. Même si l’auteur s’est inspiré de notre histoire, il est important que vous ne croyez pas forcément que c’est la vérité.

    Que cela soit dans le manga où dans les faits historiques, il faut savoir qu’elle a vécu enfermé dans des prisons. Il est donc normal que la personnalité de cette princesse, son caractère est changé une fois sortie de prison.
    Après ce petit point historique, peut-être assommant pour certains. Je trouve le fait que l’auteur est volontairement changé les détails véridique de l’histoire de cette princesse. Mais aussi qu’il utilise un personnage datant du XVIII
    e.
    Il faut savoir, qu’il n’y a pas que l’aspect historique du manga qui m’attire. Le mélange de culture est intéressant, nous avons là, deux personnages totalement opposés. L’un est shintoïste et élevé comme un japonais et l’autre est chrétienne, élevée avec la culture française. Ils n’ont pas les mêmes cultures ou traditions. Et pourtant, ils sont intéressants à analyser.

       

    HARAPEKO NO MARIE © 2017 by Ryuhei Tamura/SHUEISHA Inc.

    Les protagonistes…

    Le proverbe : “les contraires s’attirent” est véridique dans ce manga.

    Une fille pas comme les autres…

    Passons maintenant à Anna, voisine de Taïga. Anna, c’est une jeune fille timide, n’ayant d’yeux et d’intérêt que pour la princesse dont je vous ai parlé.
    Nous ne savons que très peu de choses la concernant. Sa mère n’est plus présente, on le sait et qu’elle a été élevé par son père. Nous n’en savons pas plus après sur son histoire.

    J’aime beaucoup cette protagoniste, elle est sympathique. Même si, elle cherche eut-être un peu trop la petite bête. Elle ne prend pas non plus en considération ses sentiments à elle. Elle ne semble vivre que pour son souhait et servir Marie-Thérèse Charlotte (la fameuse princesse de l’histoire). Pourtant, elle est très expressive. Son visage nous transmet chaque émotion qu’elle ressent, même si, c’est souvent de la gêne ou de la honte…

    Taiga un protagoniste au coeur d’une malédiction…

    Taïga, protagoniste principal de notre histoire et un adolescent amoureux de sa voisine Anna. Ils sont en total opposition, autant que cela soit de la culture à la religion. Ils n’ont rien en commun mise à part une vieille photo. De même que sa charmante voisine, Taïga a été élevé par sa grand-mère. Je me demande bien où sont passé ses parents… En faite, je me demande, si un seul protagoniste masculin (ou même pour une fille) possède des parents dans un manga. Il est fréquent qu’ils soient très absent. Je me demande bien pourquoi ce choix. Bref. Taïga, on ne sait pas s’il a connu l’amour parental. D’après ce qu’on voit, il n’a connu que le kung-fu et sa grand-mère au caractère quelque peu déjanté…

    Taïga est un garçon impulsif. Il réagit sur le coup de l’émotion, il n’aime pas se laisse faire. Cependant, même s’il a un sacré tempérament, c’est un garçon gentil qui se bat entièrement pour protéger les autres.

    Ce que j’aime chez ce personnage, c’est justement son tempérament. C’est un garçon qui pense beaucoup aux autres. On ne sait pas beaucoup de chose sur lui étant donnée qu’il se retrouve pour le moment dans une situation des plus compliqué ! En revanche, même s’il partage son corps avec une princesse, même s’il n’est plus lui-même, il n’en devient pas fou. Taïga essaie de trouver une solution. Il n’a pas l’air d’être le genre de personnage qui s’assoit et attend que les choses se fassent. Taïga est loin d’être bête. Il se pose les bonnes questions et au bon moment. On voit que c’est quelqu’un sur qui on peut compter.

    Une entité devenu moderne…

    En ce qui concerne Marie-Thérèse Charlotte, elle n’apparaît seulement quand elle a faim ou qu’elle est contrariée. On comprend que dans son passé, elle n’a pas pu manger à sa faim et que cela à eu des répercussion quand elle a été ressusciter… Le fait qu’elle occupe le corps de Taïga rend les chose plus difficile. A la fois pour lui mais aussi pour elle. Marie-Thérèse Charlotte et Taïga ne peuvent pas changer de “forme” physique en publique ni être séparés. Et pour couronner le tout, ils ne peuvent se parler uniquement via leur conscience. Bref, c’est une malédiction bien compliqué…

    Cette princesse, bien qu’elle a airé durant des années, des siècles même ne la rend pas plus folle ou plus méchante. Marie-Thérèse est une adolescente avant tout adorable. Elle sait que Taïga est amoureux de Anna et elle va l’aider. Même si elle n’en fait qu’à sa tête, elle n’en reste pas moins adorable envers les autres. Elle aide et s’énerve quand il le faut. Marie-Thérèse est vraiment attachante, je l’adore.

    L’ami d’enfance qui pense être “cool”…

    Passons à un autre protagoniste, Mamoru. Celui que je le trouve assez marrant et bête au passage. Je ne sais pas pourquoi, j’ai comme le pressentiment qu’il est un fauteur de trouble ?

    Tout ce qu’on apprend sur ce Mamoru, c’est qu’il agit comme un lâche. Et par dessus le marché, c’est un dragueur invétéré qui se pense beau et irrésistible alors qu’en vérité il est complètement stupide. Pourtant, c’est ce que j’aime chez lui, il est bête et ça le rend drôle ! Sa connerie le rend attachant. Par ailleurs, si vous comparez entre le mignon petit garçon dans son enfance et le lycéen qu’il est devenu, je me demande ce qu’il a bien pu se passer entre temps… Mamoru donne l’impression d’être faux, de porter un masque. Mais, je le vois bien qu’il est très attaché à son ami Taïga.

    Heureusement, bien qu’il soit secondaire, l’auteur le fait souvent intervenir. Il a même droit à quelques chapitres. Ces quelques chapitres nous permet de découvrir qui il est vraiment. On découvre aussi pourquoi, il est comme il est. Et quand il devient lui-même, il est largement plus cool que ce qu’il veut faire croire !

     

    HARAPEKO NO MARIE © 2017 by Ryuhei Tamura/SHUEISHA Inc.

    Nous avons donc là, quatre protagonistes au caractère diamétralement opposé. Ce qui fait qu’on a droit à des situations, des répliques assez comiques. Je me suis attachée aux personnages et je les apprécie beaucoup.

    Les dessins…

    Chara-design….

    Les dessins, ils ne sont pas spécialement spectaculaire, ce n’est pas un coup de coeur de ce côté là. Cependant, mon chara-design favoris est celui de Marie-thérèse Charlotte, il n’y a pas à dire, c’est l’une des protagonistes que je trouve la mieux dessiné vous ne croyez pas ?
    Le chara-design
    d’Anna n’est pas vraiment incroyable non plus, je dirais même qu’elle est banale. Tout comme Taïga, même s’il dégage un petit quelque chose !
    Mamoru lui, avec ses lunettes, il a vraiment une allure de crétin, il n’y a pas à revenir dessus je pense… Par contre, le père d‘Anna me fait penser à un petit diable avec ses cheveux en forme de corne et son menton en forme de fesse !

    Pour ce qui sont des chara-design des autres protagonistes, ils ne sont pas très poussés mais pas désagréable. Leur apparence est simple, par contre, les expressions faciales sont excellemment bien retranscrites. On comprend très facile quel sentiment surgit chez tel personnage.

    Les expressions…

    J’aime beaucoup comment le mangaka nous envoie une expression via le regard. Par exemple le regard chez Anna est très persuasif, on sent qu’il vaudrait mieux écouter sinon ça va barder !
    Je pense que la façon dont l’auteur dessine les expressions, les regards font que c’est un coup de cœur. C’est assez étrange à vrai dire puisque je ne suis pas fan des chara-design des protagonistes. Mais je suis totalement sous le charme pour ce qui sont des expressions et des regards dessinés… Par ailleurs, l’auteur a le sens du détail. Il est très précis dans ses dessins comme on peut le voir à plusieurs reprises.

     

    Pour conclure, je dirais que j’ai littéralement adoré la série. Je pense que c’est le genre de manga qu’il faut lire en deux fois pour ne pas que l’humour tue l’humour. J’ai lu à plusieurs reprise le manga tellement il m’avait plu. Après, si je devais vous pondre un point négatif de l’histoire, ça serait la fin. Oui, elle est frustrante, je suis d’accord mais elle est trop brutale. On le sent que le mangaka a été obligé de mettre un terme à sa série… Ce qui est dommage.
    Voilà, la review se termine, j’espère qu’elle n’aura pas été trop longue pour vous et qu’elle vous a plu, n’hésitez pas à commenter, cela fait toujours plaisir et encourage aussi pour continuer ! Je vous à bientôt pour une prochaine review


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  • My Teen Romantic Comedy T.1My Teen Romantic Comedy, light novel sorti en 2011 au Japon, possède un animé et un manga à son nom. Le light novel, paru en France le 15 mars 2018 chez Ofelbe. La parution du manga quant à lui, s’était faite chez OTOTO avec la sortie simultanée des 2 premiers tomes.

    J’ai beaucoup apprécié ce premier tome. Il donne le ton que prendra la suite des événements. My Teen Romantic Comedy est bien le premier light novel de genre School Life et Slice of Life en France dans la catégorie Shônen ! Et cette lecture était un véritable régale. J’ai pu découvrir à l’intérieur tout une pensée décrite par l’auteur. Cependant, cette pensée est organisée dans chaque personnages différents afin de donner une histoire plus réaliste. Mais aussi comique et attachante.

    L’histoire…

    Tout d’abord, l’histoire n’est pas spécialement original. Nous assistons à la vie de lycéen banal qui ont du mal à communiquer avec les autres. Pour parfaire ce handicape, chacun tentera par ses propres moyens de se créer une technique pour contourner ce manque de communication. Toutefois, le roman possède une originalité unique: le héro méprise ce que l’on appelle la “jeunesse”. Au début du livre, nous avons une sorte de préambule pour appuyer sa thèse de “la jeunesse est un mensonge”. En revanche, tout au long du bouquin, il donne différent argument pour appuyer une fois de plus son opinion. Pourtant, à la fin, son avis évolue… Malgré tout, il reste dans la méprise de la “jeunesse”.

    Ajoutons que dans la postface, nous avons même l’avis de l’auteur. J’ai pu me rendre compte que l’écrivain partage le même avis que son protagoniste principal. Mais nous traiterons en détail cela plus tard.

    Nous avons donc une transposition des pensées de l’auteur à travers son héro. Cela rend son light novel réaliste et prenant étant donné que nous avons des arguments à l’appuient. Mais ce n’est pas tout, nous avons aussi beaucoup de référence dans le monde du manga. C’est bien l’un des premiers Light Novel que je connaisse qui utilise des références. Mais, ce n’est pas tout, il y a aussi des références intellectuelles avec la philosophie. J’ai été très surprise de voir une série très connu provenant des Etat-Unis !

    Ce premier volume m’a vraiment fait bonne impression. L’histoire comme j’ai pu le dire est prenante mais aussi attachante. Les événements sont plutôt inattendu, voir imprévisible et certaines scènes sont ou deviennent comiques grâce aux retournements de situations. Je ne pensais pas que certains événements arriveraient et pourtant si. Je trouve l’histoire et les protagonistes assez intéressants dans le sens nous avons plusieurs adolescents différents les uns des autres. On assiste à leurs évolutions mais aussi leurs échecs, leurs peurs ou bien même leurs tourments.

    Le format…

    A vrai dire, ce qui m’a le plus emballé dans ma lecture c’est le fait que le light novel soit “court”. Au sens, où il ne fait pas cinq cent pages ou plus comme dans Sword Art Online de chez Ofelbe. Le fait que My Teen Romantic Comedy possède un peu plus de deux cent pages fait que j’ai pu facilement estimer la fin de la lecture. Donc de me dire : “je le lirai trop vite si je lis Xpages alors j’étale ça et j’organise ma lecture de X façon”. Mais pas seulement, ce n’est pas uniquement le nombre de pages qui jouent sur notre esprit. C’est aussi l’écriture.

    Tout en finesse…

    L’écriture a un rôle majeur, elle est fluide, légère. L’auteur adopte un vocabulaire parfois sarcastique. Il n’y a pas de mots compliqués. Le livre est à la portée de tous. De plus, nous ne sommes pas assommés par la lecture. Bien au contraire, le narrateur est interne. C’est le protagoniste principal qui nous narre son histoire petit à petit. Il nous fait participer en posant des questions implicites. J’entends par-là que nous avons l’impression qu’il nous questionne alors qu’en vérité, il se pose la question à lui-même. Mais là encore, ce n’est pas uniquement les questions implicites qui attirent notre attention. Il y a aussi le fait que le narrateur nous appel à réagir quand il dit “au lecteur” à certains moment ou “vous” en s’adressant à nous.

    Je n’ai pu être que captivé par ce light novel. Mais aussi par le fait que je me sentais proche de certaines pensées écrites de l’auteur. Tout comme des protagonistes ou je trouvais une partie de moi.

    Par conséquent, nous ne sommes pas passifs durant la lecture. Ce bouquin contrairement à d’autres, nous rend actifs et nous veillons à ce qu’il s’en dit.

    Les protagonistes…

    Pour ce qui sont des protagonistes, nous avons au début : Hachiman Hikigaya. Il n’y a pas beaucoup de chose à dire sur lui. On apprend à le connaître au travers du livre et pour ce qui en ressort du premier tome. Il me fait penser à un vieil homme dans ces propos concernant la “jeunesse”. Bien, qu’il vit sa jeunesse, il ne la vit pas comme les autres. Et c’est parce qu’Hachiman est frustré par cette “jeunesse”, qu’il donne de tels arguments. Pour moi, il est frustré ! Il n’a pas eu d’ami, comme beaucoup d’adolescents. Il s’est aussi fait rejeté de nombreuses fois. Il se retrouve dans certains malentendu qui l’ont rendu triste et méfiant. Je pense que si il aurait été “normal”, il ne serait pas ainsi. Et bien sûr, il n’aurait pas été intéressant à analyser. De plus, il me donne la nette impression qu’il espère toujours quelque chose.

    Pour lui, la vie ou plutôt la jeunesse ne vaut pas la peine d’être vécu.

    Si Hachiman avait été réel, je ne pense pas que j’aurais été son ami pour la simple raison qu’il est déprimant. Il ne donne pas envie d’être approché. Il ne fait pas non plus d’effort et ça il le démontre parfait. Cependant, la qualité qu’il peut avoir c’est qu’il assume parfaite ce qu’il fait. Mais je me posais une question, est-il vraiment honnête avec lui même quand il dit qu’il n’a pas besoin d’ami ? Je ne suis pas sûr. Il a certes développé son sens de l’imagination. Mais l’homme à besoin d’un autre être humain près de lui pour parler, échanger, vivre, avoir des avis mais surtout pour évoluer. C’est en partie grâce au contacte d’autrui que nous évoluons. L’homme est perfectible dans le bon comme dans le mauvais sens. Pour le moment, nous avons un personnage négatif, terne, mort de l’intérieur. J’ai hâte de lire la suite pour voir si il va changer, s’illuminer et changer d’avis sur sa fameuse théorie de la “jeunesse”. J’ai hâte de voir son évolution.

    Pour ce qui est de Yukino Yukinoshita, on ne sait que très peu de choses sur elle. J’ai bien pu apprendre certains éléments sur elle qui concerne sont présent. Malgré tout, je ne sais que très peu de choses sur la Yukino du passé. D’après ce que l’on apprend dans le Light Novel, c’est jeune fille très populaire. Au contraire, de Hachiman, Yukino est reconnu par sa beauté, son comportement et ses notes admirables. Douée dans tout ce qu’elle entreprend, elle est admirée et enviée de tous les élèves. Elle est le genre de fille qu’on appellerait “beauté de glace” car quoi que tu dises, son visage ne changera pas. J’apprécie beaucoup cette jeune fille. Yukino n’a pas la langue dans sa poche, si elle veut dire quelque chose, elle le dira. Par ailleurs, si elle s’isole, ce n’est pas parce qu’elle le souhaite. Mais simplement par hypocrisie des autres filles qui pourrait profiter d’elle. Elle ne souhaite pas une amitié où les autres en tirent avantage et pas elle. Elle ne croit pas à l’amitié.

    Ce que j’aime chez Yukino, c’est le fait que si quelqu’un a un problème, elle l’aidera, peut importe le prix. C’est une jeune fille loyale et fidèle à ses valeurs. Mais j’ai aussi pu remarquer qu’elle n’est pas uniquement ce qu’elle prétend être: une fille de glace. Elle ressent et peut être submergée par différentes émotions. Elle peut très bien être gênée, embarrassée ou même avoir honte. Au contraire de Hachiman, elle n’est pas passive comme lui à attendre que les choses se passent.

    Cependant, si les deux personnages n’évoluent pas dans le roman, leur relation elle, elle évolue contre toute attente. Si au départ, ils ne se parlaient pas, ils le feront de plus en plus. Et c’est au travers de leurs insultes qu’ils s’expriment et racontent leur passé.

    Des atouts majeurs…

    Yui Yuigahama. Une adolescente qui se fait passer pour se qu’elle n’est pas. Elle est superficielle. Elle veut prétendre avoir confiance en elle et veut inspirer la “classe”. Pourtant, Yui est ce que l’on appelle plus communément : un mouton. Elle suit les autres, leurs opinions pour se faire accepter.

    Toutefois, elle change grâce à nos deux acolytes. Elle suivra moins les autres et osera donner son avis, même si elle doit se faire critiquer. Yui est celle qui évolue le plus dans le roman. Même si elle au début, elle n’a aucune confiance en elle. Elle est fausse, c’est un mouton néanmoins c’est une jeune fille qui s’affirme plus vers la fin du tome.

    Ce que j’aime dans ce personnage, bien qu’elle soit un peu bête, lente à la détente, c’est je me reconnais en elle. Dans le sens où oser se confronter aux autres n’est pas possible. Trouver le courage de le faire, de s’assumer et un grand pas vers le changement. Yui est la protagoniste la plus sincère dans ses sentiments. Elle exprime se qu’elle ressent même si elle est très maladroite.

    Zaimokuza Yoshiteru est le genre de personnage qu’on peut voir dans Chûnibyô. Il pense avoir des super-pouvoir, vivre dans une réalité alternative Mais sait-il que tous se qu’il dit est faux ? Je l’espère sincèrement pour lui ! On ne peut pas dire grand chose sur lui. Il n’apparaît que très peu dans le livre. Mais l’impression qu’il m’a laissé n’est autre le fait que c’est un personnage : lourd. C’est le genre où tu as envie de lui dire de se taire alors qu’il n’a pas encore ouvert la bouche car tu sais qu’il va dire une connerie.

    Je ne vais pas vous faire tout les personnages du livre. Tout de même. Il y en reste bien trop à traiter. Et surtout, je ne veux pas vous gâcher le plaisir de les découvrir !

    J’en viens donc à vous présenter mon dernier ou plutôt dernière protagoniste. Celle qui est l’élément moteur et qui a rassemblé notre belle bande de bras cassé. Une femme de caractère, qui n’a peur de rien et qui prend son rôle de professeur très à cœur. Quelque peu sadique je vous l’accorde, qui se délecte de la souffrance de ces élèves. Qui rit d’eux dans l’ombre, je vous présente mademoiselle : Hiratsuka Shizuka. On ne sait que très peu de choses la concernant. Mais on peut percevoir qu’elle a souvent eu des déceptions amoureuses…

    Les dessins…

    Pour ce qui sont des dessins de Ponkan8, je les trouve extrêmement beau. Bien plus beau que ceux de l’animé. Je trouve dommage que ce ne soit pas le même dessinateur pour l’animé.

    En réalité, je suis complètement fan de ses dessins, ils sont magnifiques et c’est un véritable coup de cœur. Je ne saurais pas vraiment quoi dire dessus, il y a en trop peu pour que je puisse juger. Ils sont en partie en gros plan. Les illustrations sont vraiment centrés que sur les personnages. Il n’y a pas de paysage.

    Leurs traits sont fins et plutôt attirant. Mais je vous en dirais plus quand pour le tome 2 !

    Pour conclure, je dirais que ce light novel est vraiment comme je l’attendais. Il dépasse même toutes mes espérances ! C’est un véritable coup de foudre pour le coup !

    Ce premier volume est assez drôle, et les situations comiques. Ça change vraiment de mes lectures habituelles et c’est ce que j’aime.

    De plus, j’ai pu remarqué que l’auteur avait fait une sorte de jeu de prénom. Si vous regardez bien et analysez tous les prénoms des protagonistes ressemblent quelque peu à leur prénom. J’aime beaucoup ce jeu de prénom, c’est une marque de l’auteur qui lui est personnelle.

    Jusqu’à présent, je n’avais lu de light novel aussi personnel ! Les propos de l’auteur à travers son Hachiman sont les mêmes que dans la postface. C’est à se demander si on ne lit pas le journal intime de l’auteur et qu’il y aurait pas ajouté un peu de fiction ! Voilà, je pense en avoir dit assez. J’espère que la review vous a plu et on se dit à bientôt pour la prochaine. N’hésitez pas à laisser des commentaires, cela fait toujours plaisir !

     


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  • Synopsis
    Naho ne peut se résoudre à imaginer un futur dans lequel Kakeru ne serait plus de ce monde. Aussi, la jeune lycéenne réussit à prendre sur elle, et à suivre les recommandations inscrites sur la lettre qu'elle a reçue. Pourtant, un jour, elle réalise que les événements commencent déjà à différer de ceux qui lui avait été prédit. Mais alors qu'elle se sent incapable d'en faire plus, son ami Suwa lui fait une étonnante révélation !
    INFORMATIONS
    .


    TITRE : Orange
    MANGAKA : Ichigo TAKANO & TOKIUMI Yui
    Genre : Light novel
    NOMBRE DE Tomes: 3
    ÉDITEUR : Akata  & Nishita Edition 
    prix : 12.99€
     

    Orange, manga de Ichigo Takano, adapté par la suite en animé de douze épisodes puis en Light Novel avec à son compte seulement trois tomes. C’est Yui Tokium l’autrice qui transforme le manga en roman en prenant en compte chaque événements à la lettre, elle réussit avec brio à écrire les trois tomes paru chez Akata dans la collection So Shôjo.
    J’ai vraiment adoré ce dernier volume, il respecte bien les codes de la mangaka mais aussi, l’autrice découpe le roman en trois parties, ce qui nous permet d’apprécier grandement le roman.

     

    Pourquoi ?

     

    Nous retrouvons donc notre petite bande d'ami dans ce dernier volume décisif pour Kakeru qui décidera de si il veut vivre ou non, j’ai vraiment été prise par la lecture. La lecture est fluide comme toujours, les mots sont simples et parfois cru, j’ai pu être surprise à certains moment du langage de tel ou tel personnage tellement les mots sont à l’opposé du caractère ! Toutefois, c’était un très bon roman que j’ai dévoré en seulement quelques jours. En plus de cela, j’ai relu le livre deux fois tellement j’ai apprécié et pourtant, je ne suis pas du genre à relire un roman…

    Pour ce qui est de la structure du roman, il est coupé en trois partie, nous avons également des dessins du mangas qui sont joint à l’intérieur du livre.

    Comme j’ai pu le dire, l’histoire est coupé en trois parties, la première n’est autre que celle où Suwa, Hagita, Naho, Takako et Azusa alias Azu, doivent essayer de le sauver coûte que coûte en ayant recours à la lettre de leurs doubles dix ans dans le futur, cette partie pourrait donc s’intitule “Si kakeru avait été sauvé. La deuxième partie porte le nom de “Si Kakeru n’avait pas été sauvé” et “la dernière partie, Naho et les autres, dix ans plus tard.

     

    Concernant la première partie, nous avons donc une course contre la montre pour sauver Kakeru, la petite bande avaient d’ailleurs tout prévu grâce à la lettre mais cela n’empêche pas l’inévitable, même si grâce à eux, Kakeru prend la décision de vivre. J’ai beaucoup aimé cette partie du roman étant donnée que nous savons comment il a été sauvé. Cependant, même si nous savons que Kakeru sera sain et sauf, j’ai trouvé intéressant de savoir ce qui le sauve vraiment. Les événements ont certes été précipité mais c’est bien mieux, si le roman avait plus développait certaines parties, le livres auraient été plus long et peut-être plus chiant ? L’auteur décide d’aller à l’essentiel.  

    Au contraire de la deuxième partie où là, nous voyons l’histoire parallèlement, j’entends par-là, que lorsqu’il décide de se suicider, il ne pense qu’au fait de demander “pardon” à sa mère, il ne pense pas à ses amis, ni à Naho. Dans cette partie, tout ce qui intéresse Kakeru c’est sa mère, s’excuser auprès d’elle car il pense qu’il n’a pas le droit vivre, qu’il l’a tué. Il porte un lourd et ne le partage avec personne, il est bien plus malheureux, triste, renfermé sur lui que dans la première partie.

    Si je devais comparer les deux parties, je dirais que Kakeru est plus ouverte, plus “heureux” dans certains moment, qu’il parle de ses soucis et donc, il exprime ce qu’il ressent, si il ne l’avait pas fait, qu’il aurait tout gardé pour lui peut-être qu’il se serait produit l’irréparable. Mais, grâce aux lettres, aux changement de ses ami(e)s, du fait qu’il tombe amoureux et qu’il est concrétisé, il souhaite vivre, il ne veut pas renoncer à sa vie. C’est ce que j’ai aimé en lisant les deux parties, voir quelle tournure aurait pris le roman SI il n’y avait pas eu de lettre et donc, qu’il aurait perdu la vie.

    Ensuite, la dernière partie du livre concernent Naho et ses ami(e) sans Kakeru, Naho est mariée à Suwa comme vous le savez, du moins je l’espère… Dans cette dernière partie, nous apprenons comment l’idée de la lettre leur est venu à l’esprit, nous apprenons que chacun d’eux souffres et que la disparition de leur ami de lycée a mit une certaine distance entre eux, distance brisé le jour où ils se revoient tous et qu’ils échafaudent leur idée de sauver Kakeru.

    J’ai trouvé ce moment très touchant, pas aux point de pleurer mais j’en ai tout de même eu le coeur serré.

     

    L’auteur touche son public avec un sujet sensible, bouleversant : la perte d’un proche, elle est liée à une histoire de monde parallèle où les événements peuvent être différents, modifiés grâce à une aide extérieur. C’est un manga original conçu par l’auteur, je ne pensais en aucun voir ce genre de manga apparaître un jour et qu’ensuite ce manga serait adapté en livre. C’était une sacré surprise je peux vous le dire, mais je ne regrette pas, il valait vraiment le coup  d’être lu et je suis contente de connaître enfin l’histoire ce manga, grâce à ce roman. D’ailleurs, l’auteur démontre parfaitement le parcours des différents personnages, il est conforme aux attentes de la mangaka !


    Passons donc au Protagoniste : Naho, a beaucoup mûri depuis le premier tome, elle est beaucoup plus sûr d’elle, elle est plus en à l’écoute en prenant en compte cette fois-ci des sentiments d’autrui, elle comprend donc un peu plus même si elle n’en reste pas moins maladroite... Elle exprime également et enfin ce qu’elle a à dire, elle garde pas pour elle ses opinions ou sentiments, elle décide de grandir et d’assumer ce qu’elle ressent, elle prend conscience qu’elle est faible mais qu’elle peut très bien se débrouiller seule sans toujours se reposer sur ses deux fidèles amies. Elle agit enfin comme une grande sans se faire materner. On peut aussi observer qu’elle a bien plus de volonté, elle décide pour elle ce qui peut-être bien que cela soit pour ses ami(e)s ou bien pour elle-même, elle fait en sorte de ne plus avoir de regret.

    Je trouve l’évolution de Naho vraiment positive, au départ, je ne pouvais me “l’encadrer” que cela soit dans l’animé ou dans le roman, Naho était insupportable pourtant, le fait qu’elle est reçu cette lettre du futur, l’a forcé à agir et à se réveiller de son quotidien assez confortable.

    Toutefois, Naho est aussi la protagoniste avec le plus de responsabilité sur les épaules contrairement aux autres, même si ses ami(e)s ont le même objectif qu’elle, ils n'ont pas ce poids qu’elle porte puisque c’est en partie grâce à elle, à l’amour qu’elle porte à Kakeru qu’il choisit de vivre !

    Je peux donc affirmer que le fait que Naho ait eu une lourde charge sur ses épaules si frêles, une responsabilité immense, elle a su grandir, changer et devenir une jeune fille qui comprend mieux le monde qui l’entour, qui comprend que la vie est importante et qu’elle doit être vécu sans regret.

     

    Mais ce n’est pas la seule qui grandit et qui porte une lourde charge sur ses épaules, Suwa, son meilleur ami, amoureux de Naho, garde deux terribles secrets. Le premier assez évidemment et celui qu’il a des sentiments pour cette dernière mais qu’il refuse de les lui avouer car il souhaite sauver Kakeru, mais ce n’est pas la seule raison, la véritable raison est bien plus compliqué en réalité. Le deuxième secret, est le fait qu’il soit marié à Naho dans le futur et qu’il ait fondé une famille avec cette dernière.

    Suwa est probablement le personnage qui souffre le plus puisqu’il cache à la fois ses sentiments à son amie comme j’ai pu le dire mais aussi un potentiel avenir avec elle. De plus, il doit prendre sur lui et céder sa place à Kakeru pour que lui, puisse voir son amour concrétiser avec Naho. Suwa n’a donc pas le droit de goûter au même bonheur que son ami Kakeru. Pourtant, Suwa est un jeune homme qui pense bien les choses, il ne dramatise pas, il prend sur lui et agit en adulte. Il est aussi l’un dès plus mature de la bande. Ce que j’apprécie chez ce personnage, c’est le fait qu’il veille sur ces ami(e)s de loin, il conseille, prête une épaule pour pleurer mais fait aussi attention à ce qu’il passe. En plus de cela, il est prêt à évoquer, dire des phrases durs dans le seul but d’aider ses ami(e)s. C’est vraiment un protagoniste attachant et je trouve dommage qu’on ne le voit pas un peu plus !

     

    Ensuite, concernant Hagita, il est quelque peu la victime, le clown du groupe mais aussi le plus sérieux, il n’est pas spécialement développer comme Takako ou Azu, on pourrait les considérer de protagonistes secondaires. Je trouve d’ailleurs dommage qu’ils soient moins développés, j’aurais aimé apprendre à les connaître… Toutefois, de ce que j’ai pu lire, apprendre sur eux, je peux dire que Azu, c’est le genre de fille à faire semblant de ne pas voir, de laisser les choses se faire, de profiter de la vie et de rire, elle ne prend rien au sérieux. C’est typiquement la bonne copine, celle qui te donne toujours le sourire quand tu n’es pas dans assiette et c’est ce que j’aime chez elle, son côté léger, heureux de la vie est belle. Pourtant, même si les événements sont graves, elle ne dramatise pas les choses, bien au contraire, elle fait comme si elle ne les voyait. Je ne l’ai jamais vu s'énerver dans le livre… Elle n’a pas non plus évoluer

    Takako, elle, elle est un peu mère poule, elle peut paraître brusque, mais elle ne veut uniquement que le bien de ses ami(e)s, elle veille sur eux, tout comme Suwa, c’est une jeune fille qui prend les choses aux sérieux, qui à les pieds sur terre et qui s’énerve quand il le faut. Elle ne laisse pas les autres lui marcher sur les pieds, du moins, elle ne leur en laisse pas le temps ! On pu voir à plusieurs reprise qu’elle veillait sur ses ami(e)s.

    Il y a quatre scènes qui m’ont marqués : la première et la deuxième c’était avec Ueda lorsqu’elle embêtait Naho ou qu’elle voulait l'empêcher de voir Kakeru car elle était jalouse et la troisième fois c’était pour Suwa lors du nouvel an, je ne vous en dirais plus au cas où vous n’auriez pas lu encore ce dernier volume. Et la quatrième fois, je le regroupe avec toutes les fois où elle était à la fenêtre avec Azusa, Suwa et Hagita pour voir si tout se passe bien entre Kakeru et Naho.

      

    Concernant, les illustrations du roman, elles proviennent du manga d’origine, ils sont beaux mais ça je vous l’avez déjà dis ! Je ne vous ferai pas non plus un paragraphe entier pour cela étant donné que les dessins appartiennent au manga, je le ferai donc le jour où je le lirai et que je vous ferai par de mon avis.

     

    C’est donc un petit coup de cœur pour ce roman de Orange en provenance des édition Akata que je soutiens ! J’ai hâte de voir les prochains light novel qu’ils proposent !

    Pour ce qui est de Orange, j’ai beaucoup apprécié sa lecture, je ne le relirai peut-être pas une deuxième fois ou troisième fois pour ma part, je vous le conseille à vous si vous aimez Ichigo Takano avec son manga ou bien même l’animé et le film.

    Le roman est léger, il se lit très vite et il est aussi intéressant de découvrir plus de détail, de voir comment un autre auteur peut voir Orange et de pouvoir faire la différence avec le manga.

    Voilà, je pense en avoir dit assez pour ce tome et pour cette série. J’espère que l’article vous a plu, que le roman vous a plu que Orange vous a plu. N’hésitez pas de laisser un commentaire pour me faire part de votre avis, ça fait toujours plaisir et on se dit à bientôt pour une prochaine review !

    BakaNekoReviews de Minokoto
    Admin du blog passionnée de mangas, animés et surtout de japanimation en générale mais surtout du monde web. On m'appelle aussi la dévoreuse de livre !

     


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